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Auteur Cherry Leonardi |
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‘Liberation’ or capture / Cherry Leonardi in African Affairs, Vol. 106/424 (2007)
[article]
Titre : ‘Liberation’ or capture : Youth in between ‘hakuma’, and ‘home’ during civil war and its aftermath in Southern Sudan Type de document : texte imprimé Auteurs : Cherry Leonardi, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 391-412. Langues : Anglais (eng) Résumé : Generational tension and youth crisis have been prominent themes in recent analyses of civil conflict in Africa. Field research in Southern Sudan in 2004–2006 suggests that the analysis does not fit the Sudanese war. This article examines a structural opposition between the sphere of military/government (the ‘hakuma’) and the sphere of ‘home’. It argues that to be a ‘youth’ in Southern Sudan means to inhabit the tensions of the space between these spheres. While attempting to resist capture by either sphere, youth have used their recruitment by the military to invest in their home or family sphere. Their aspiration to ‘responsibility’ illustrates not generational rebellion, but the moral continuity in local society, also evident in discussions of marriage.
in African Affairs > Vol. 106/424 (2007) . - pp. 391-412.[article] ‘Liberation’ or capture : Youth in between ‘hakuma’, and ‘home’ during civil war and its aftermath in Southern Sudan [texte imprimé] / Cherry Leonardi, Auteur . - 2007 . - pp. 391-412.
Langues : Anglais (eng)
in African Affairs > Vol. 106/424 (2007) . - pp. 391-412.
Résumé : Generational tension and youth crisis have been prominent themes in recent analyses of civil conflict in Africa. Field research in Southern Sudan in 2004–2006 suggests that the analysis does not fit the Sudanese war. This article examines a structural opposition between the sphere of military/government (the ‘hakuma’) and the sphere of ‘home’. It argues that to be a ‘youth’ in Southern Sudan means to inhabit the tensions of the space between these spheres. While attempting to resist capture by either sphere, youth have used their recruitment by the military to invest in their home or family sphere. Their aspiration to ‘responsibility’ illustrates not generational rebellion, but the moral continuity in local society, also evident in discussions of marriage. Violence, Sacrifice and Chiefship in Central Equatoria, Southern Sudan / Cherry Leonardi in Africa, 77/4 (2007)
[article]
Titre : Violence, Sacrifice and Chiefship in Central Equatoria, Southern Sudan Type de document : texte imprimé Auteurs : Cherry Leonardi, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 535-558. Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Sudan -- History -- Civil War, 1983-2005 -- Social aspects. Chiefdoms -- Sudan -- Equatoria Region. Sudan People's Liberation Army. Equatoria Region (Sudan) -- Politics and government. Résumé : Cet article étudie des histoires orales et des débats de chefs spécifiques aux lendemains de la guerre de la SPLA au sein de deux chefferies du Sud du Soudan. Il soutient que ces histoires locales sont très révélatrices de la relation historique entre l’É tat et la société (et notamment la médiation de la violence externe), qui est centrale pour comprendre la légitimité de l’autorité locale. Au lieu d’être le bras fort de l’É tat, les chefs ont idéalement joué le rôle de médiateurs et détourné la violence d’é tat (et des rebelles). Contrairement à d’autres exemples africains, ils ont été marginaux en termes de structures de propriété foncière et de patriclan, de sorte que la chefferie a offert une définition plus inclusive et pragmatique de la communauté que ne l’ont fait les discours patrilinéaires. Comme ailleurs dans le Sud du Soudan, les premiers chefs étaient souvent des médiateurs indirects avec des origines marginales ou extérieures, et leur accès à la force gouvernementale a été contrebalancé par l’autorité continue des chefs de pluie, des anciens, des lignages supérieurs et des ‘‘oncles maternels’’. Les actions de gouvernance actuelles qui traitent les chefs comme les gardiens exclusifs des terres et des coutumes de la communauté peuvent être en contradiction avec les interprétations locales du r ôle du chef. Les histoires orales des origines des chefs reflètent un accord symbolique passé avec le gouvernement et avec les chefs, par lequel ces derniers utilisent leur ‘‘bon parler’’ pour régler les problèmes de violence par lamédiation et, si nécessaire, se sacrifient pour ‘‘sauver’’ les personnes de la force extérieure/gouvernementale.
in Africa > 77/4 (2007) . - pp. 535-558.[article] Violence, Sacrifice and Chiefship in Central Equatoria, Southern Sudan [texte imprimé] / Cherry Leonardi, Auteur . - 2007 . - pp. 535-558.
Langues : Anglais (eng)
in Africa > 77/4 (2007) . - pp. 535-558.
Mots-clés : Sudan -- History -- Civil War, 1983-2005 -- Social aspects. Chiefdoms -- Sudan -- Equatoria Region. Sudan People's Liberation Army. Equatoria Region (Sudan) -- Politics and government. Résumé : Cet article étudie des histoires orales et des débats de chefs spécifiques aux lendemains de la guerre de la SPLA au sein de deux chefferies du Sud du Soudan. Il soutient que ces histoires locales sont très révélatrices de la relation historique entre l’É tat et la société (et notamment la médiation de la violence externe), qui est centrale pour comprendre la légitimité de l’autorité locale. Au lieu d’être le bras fort de l’É tat, les chefs ont idéalement joué le rôle de médiateurs et détourné la violence d’é tat (et des rebelles). Contrairement à d’autres exemples africains, ils ont été marginaux en termes de structures de propriété foncière et de patriclan, de sorte que la chefferie a offert une définition plus inclusive et pragmatique de la communauté que ne l’ont fait les discours patrilinéaires. Comme ailleurs dans le Sud du Soudan, les premiers chefs étaient souvent des médiateurs indirects avec des origines marginales ou extérieures, et leur accès à la force gouvernementale a été contrebalancé par l’autorité continue des chefs de pluie, des anciens, des lignages supérieurs et des ‘‘oncles maternels’’. Les actions de gouvernance actuelles qui traitent les chefs comme les gardiens exclusifs des terres et des coutumes de la communauté peuvent être en contradiction avec les interprétations locales du r ôle du chef. Les histoires orales des origines des chefs reflètent un accord symbolique passé avec le gouvernement et avec les chefs, par lequel ces derniers utilisent leur ‘‘bon parler’’ pour régler les problèmes de violence par lamédiation et, si nécessaire, se sacrifient pour ‘‘sauver’’ les personnes de la force extérieure/gouvernementale.