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1 recherche sur le mot-clé 'Couple sexualité parole étreinte signifiant sujétion féminin'
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La parole et l’étreinte / Paul-Laurent Assoun in Dialogue, 193 (septembre 2011)
[article]
Titre : La parole et l’étreinte : L’inconscient en couple Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul-Laurent Assoun, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 25-40. Langues : Français (fre) Mots-clés : Couple sexualité parole étreinte signifiant sujétion féminin Résumé : Comment la sexualité se parle-t-elle dans le couple qu’elle unit de façon si impérieuse et précaire à la fois ? Le paradoxe est que, d’une part, l’union des corps rend la parole superflue et que, d’autre part, l’amour tient au signifiant chez les êtres parlants. Parler de sa sexualité pour un couple ne se décrète pas. Dans l’après-acte se rétablit, au-delà du réel de l’étreinte, la séparation des êtres parlants. La sexualité n’est donc pas qu’un registre relationnel ou communicationnel. Ainsi se dessine un savoir de l’inconscient qui ne ferait pas fi de l’impossible du rapport sexuel, sauf à parler de « lit de plein emploi » – entre-deux du « parlêtre » et du corps. Il s’agit ici d’en suivre la dialectique, des effets divisants de la parole à la réconciliation sur l’oreiller, de la sujétion sexuelle à l’éloignement, les figures de la crise imposant traumatiquement une parole d’éveil.
in Dialogue > 193 (septembre 2011) . - pp. 25-40.[article] La parole et l’étreinte : L’inconscient en couple [texte imprimé] / Paul-Laurent Assoun, Auteur . - 2011 . - pp. 25-40.
Langues : Français (fre)
in Dialogue > 193 (septembre 2011) . - pp. 25-40.
Mots-clés : Couple sexualité parole étreinte signifiant sujétion féminin Résumé : Comment la sexualité se parle-t-elle dans le couple qu’elle unit de façon si impérieuse et précaire à la fois ? Le paradoxe est que, d’une part, l’union des corps rend la parole superflue et que, d’autre part, l’amour tient au signifiant chez les êtres parlants. Parler de sa sexualité pour un couple ne se décrète pas. Dans l’après-acte se rétablit, au-delà du réel de l’étreinte, la séparation des êtres parlants. La sexualité n’est donc pas qu’un registre relationnel ou communicationnel. Ainsi se dessine un savoir de l’inconscient qui ne ferait pas fi de l’impossible du rapport sexuel, sauf à parler de « lit de plein emploi » – entre-deux du « parlêtre » et du corps. Il s’agit ici d’en suivre la dialectique, des effets divisants de la parole à la réconciliation sur l’oreiller, de la sujétion sexuelle à l’éloignement, les figures de la crise imposant traumatiquement une parole d’éveil.