Titre : |
Les caves du Vatican |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
André Gide, Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
1922 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 183 |
Importance : |
253 p. |
Format : |
17 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Vatican |
Index. décimale : |
809.3 |
Résumé : |
Ce récit délibérément décousu croise et oppose intrigues et personnages. Il y a d'abord les atermoiements et les revirements de Julius de Baraglioul, catholique ultra, et de son beau-frère, Anthime Armand-Dubois, libre penseur, qui opèrent chacun une conversion en chassé-croisé avant de revenir subitement à leurs options initiales. Il y a la bande des escrocs, avec, à sa tête, le redoutable Protos qui répand la rumeur selon laquelle le pape serait séquestré dans les caves du Vatican. Mais, surtout, il y a le jeune Lafcadio qui, prisonnier de sa mystique de l'acte gratuit, avec la même indifférence sauve un jour la vie de deux jeunes enfants et, un autre, tue le pauvre Amédée Fleurissoire, sans mobile réel. Cette « sotie » illustre ainsi la folie de certains engagements intellectuels, et le remords final de Lafcadio, torturé par la conscience de son crime, démontre la gravité des conséquences qui en découlent. |
Les caves du Vatican [texte imprimé] / André Gide, Auteur . - Paris : Gallimard, 1922 . - 253 p. ; 17 cm. - ( Le Livre de Poche; 183) . Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Vatican |
Index. décimale : |
809.3 |
Résumé : |
Ce récit délibérément décousu croise et oppose intrigues et personnages. Il y a d'abord les atermoiements et les revirements de Julius de Baraglioul, catholique ultra, et de son beau-frère, Anthime Armand-Dubois, libre penseur, qui opèrent chacun une conversion en chassé-croisé avant de revenir subitement à leurs options initiales. Il y a la bande des escrocs, avec, à sa tête, le redoutable Protos qui répand la rumeur selon laquelle le pape serait séquestré dans les caves du Vatican. Mais, surtout, il y a le jeune Lafcadio qui, prisonnier de sa mystique de l'acte gratuit, avec la même indifférence sauve un jour la vie de deux jeunes enfants et, un autre, tue le pauvre Amédée Fleurissoire, sans mobile réel. Cette « sotie » illustre ainsi la folie de certains engagements intellectuels, et le remords final de Lafcadio, torturé par la conscience de son crime, démontre la gravité des conséquences qui en découlent. |
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